« Brouillages au Londeau » Coup de coeur du jury

« Brouillages au Londeau » Coup de coeur du jury

Festival Les enfants font leur cinéma

Coup de coeur du jury : « Brouillages au Londeau », de Salma Attou, Nour Belasla, Kenza Larbaoui, Naïma Giraud, Léa Labadi, Chaïnaze Attou, Diluxcika Ramanathas, Shérazade El Asri

 

Accompagnées par les artistes Mathilde Guermonprez et Élise Picon (BELLADONE), un groupe de jeunes filles du centre social du Londeau à Noisy-le-Sec a réalisé un court-métrage sur le thème du « Voyage dans le temps ». 

Lors des vacances de février, des ateliers ont été consacrés au brainstorming, à l’agencement des idées jusqu’à la création d’une trame scénaristique. Puis, lors des vacances d’avril, les jeunes noiséennes sont passées devant et derrière la caméra le temps de cette fiction intitulée « Brouillages au Londeau ».

Cette action a été réalisée dans le cadre de la résidence « Culture et lien social » soutenue par la DRAC Île-de-France, la Ville de Noisy le Sec, le Commissariat général à l’égalité des territoires – CGETEst Ensemble et Seine-Saint-Denis habitat.

👉 Découvrez « Brouillage au Londeau » dans le cadre du festival « les jeunes font aussi leur cinéma » par Le Trianon (Romainville) le mercredi 30 Mai à 18H.

Sur les traces de l’immigration italienne / reporté

Dans le cadre du mois des pratiques amateurs

Date à venir
Théâtre Berthelot / Montreuil

Italiennes: présentation du travail réalisé autour du film de Silvia Staderoli sur la sauvegarde et la transmission aux jeunes générations de la culture italienne au féminin.

Le grand voyage de l’idéal ou j’ai dit : «un communiste patron?» elle m’a répondu :«on ne peut pas garder deux pastèques sous le même bras !»
«Sur les traces de l’immigration italienne» s’intéresse cette fois-ci, aux témoignages, aux chants collectés et plus largement à l’engagement politique. La figure centrale sera celle d’un petit-fils d’anarchiste, devenu militant du PCF et résistant. Autre personnage emblématique: l’arrière-petite-fille d’un jeune communiste fusillé sur le Mont-Valérien.
A travers ces témoignages ce projet interroge les raisons pour lesquelles tant d’hommes et de femmes ont risqué leur vie : la fougue de la jeunesse au service de l’idéal mais aussi la transmission, l’attitude sociétale héritée du passé! Le chœur sera le fil conducteur comme un peuple anonyme témoin lui même du devenir de l’homme et à sa lutte vers la justice.

Mise en scène : Anna Andreotti

Avec : Margherita Trefoloni, Simone Olivi, Anna Andreotti, le Chœur de l’émigration, distribution en cours.
En partenariat avec le Printemps de la Mémoire.

Production : ARCADI/ Passeur d’images, Trajectoires, TBC et les Cie Arsenal Fragile et Maggese, Belladone

Métrokawa #10 La place des jeunes dans le Grand Paris ?

Nous avons le plaisir de vous inviter au Métrokawa n°10 organisé avec Association Métropop’! , Arcadi Idf, le Réseau Mémoire et Histoire en Île de France et la Maison du Geste et de l’Image
Le 20 juin de 15h à 18h
à la Maison du Geste et de l’image à Paris
(42 rue Saint-Denis – Métro-RER Châtelet Les Halles)
à l’occasion du Printemps de la Mémoire sur le thème « Jeunesse : mémoires et transmissions »

Nous aborderons la manière dont les jeunes peuvent contribuer aux transformation du territoire francilien
ainsi que du sentiment d’appartenance quartier/ville/Grand Paris/Région.

Au programme :

– Des projections : > « Hier ce sera mieux » de Philippe Fenwick qui relate la rencontre à Saint-Denis entre des jeunes et des personnes âgées
> En avant première les 3 « Métroportraits » de la saison 2, réalisés par des jeunes de Sevran, Gennevilliers et Argenteuil
avec le collectif Belladone, produits par Arcadi et Métropop’!
– Des témoignages de jeunes ayant participé à ces projets
– Des interventions d’urbanistes et de sociologues travaillant sur ces questions
– Des débats mouvants à partir de propositions de jeunes pour construire l’avenir de la métropole

Sylvin Rubinstein

Cette danseuse de flamenco n’est pas une femme. Sous le fard, la perruque, la robe aux couleurs vives, les paillettes et les fanfreluches, se cache un homme. Il dansait autrefois aux côtés de sa sœur. Ensemble, ils connaissaient le succès. Dans les années trente, ils faisaient l’admiration des foules et enchaînaient les contrats dans les plus grands cabarets d’Europe. Mais ils étaient juifs et le nazisme les a rattrapés et séparés pour toujours. Parce qu’il était chassé, Sylvin est devenu chasseur, résistant, un tueur de SS et de gestapistes. Il s’appelait Sylvin Rubinstein de son vrai nom, Turski de son nom de résistant, Imperio de son nom de scène avant de prendre plus tard celui de sa sœur, Dolores: Le danseur qui tuait les nazis.

Un documentaire de notre membre Lorenz Findeisen, ce samedi à 16:30h sur ARTE.

Bruxelles l’africaine

Dans la commune d’Ixelles, bat le cœur africain, congolais surtout, de la ville : Matonge. Le nom vient d’ailleurs d’un quartier de Kinshasa réputé pour son ambiance et ses artistes.
C’est là, au beau milieu de la capitale européenne que, depuis les années 60, se retrouve la communauté congolaise parmi les boutiques de wax, les restaurants, les clubs de rumba et les coiffeurs africains.

Un magnifique reportage RFI en deux épisodes d’Elise Picon à écouter ici!